Note sur la transmission du Dao
Discussion entre le maître Lu Chonghan et l'élève Liu Lihong
(1ère partie, 7 Mai 2006)
© Institut Liang Shen de Médecine Chinoise - Traduction : Abel Gläser
L'élève Liu Lihong : « Maître, aujourd'hui je voudrais vous poser des questions au sujet de deux patients. Le premier patient c'est le patient que vous avez vu à Nanning cette fois-ci, un homme de 55 ans atteint d'un cancer de l'oesophage. Ce patient a subit son opération il y a déjà 5 ans, il y a 3 ans il a eu des métastases à la clavicule gauche et au médiastin, les métastases à la clavicules gauche ont formé une ulcération maligne produisant un trou gros comme un œuf avec une puanteur insupportable. La douleur de la zone de l'ulcération s'est propagé jusqu'à l'épaule et au bras gauche, les mouvements devenant pénibles. La vigueur déclinait progressivement, la prise d'aliments et le sommeil n'étaient pas trop mauvais, le patient allait à la selle une fois par semaine mais sans inconfort. Après la prise d'aliments il y avait légèrement distension épigastrique. Cette fois il a été hospitalisé le 17 avril, pendant l'hospitalisation la langue était très pâle, le centre et la racine de l'enduit était blanc, épais et gras, le pouls à droite était glissant, lent et superficiel, à la pression forte il n'y avait plus de pouls aux loges cun et guan, le pouls gauche était sans racine. À ce moment j'avais considéré que ce patient révélait déjà les manifestations d'un affaiblissement du yuan qi, il fallait uniquement protéger et solidifier le yuan qi, et on aurait un espoir de le faire revenir, ainsi je lui ai prescrit la formule ci-dessous :
Zhi fupian 75g (cuire d'abord), sheng baizhu 15g, sharen 20g, chenpi 15g, fabanxia 20, zhu fushen 20g, huangqi 60g, danggui 15g, dangshen 30g, ganjiang 45g, zhi gancao 10g.
Après avoir donné 13 doses (une dose par jour) de cette formule, j'ai rajouté 15g de baizhi à la formule ci-dessus. J'ai ajouté baizhi principalement en considérant la situation de l'ulcération, en tout on a administré 18 doses au patient. La situation générale du patient s'est améliorée de façon manifeste. Sa vitalité et sa force physique était plus forte qu'avant, la situation de distension épigastrique post-prandial avait quasiment disparu, la situation des selles s'était aussi améliorée, et surtout la zone d'ulcération s'était réduite un peu, et il avait une réduction évidente de la suppuration. Après avoir fait une consultation à ce patient vous avez fait des modifications à partir de la formule précédente :
Zhi fupian 75g (cuire d'abord), sheng baizhu 15g, sharen 15g, chenpi 15g, huangqi 50g, renshen 10g, bajitian 20g, tusizi 20g, shengjiang 60g, zhi gancao 5g.
On a utilisé 7 doses de cette formule, l'ulcération s'est encore améliorée de façon manifeste, le pus a réduit encore. Le problème actuel est que la douleur ne s'est pas améliorée. À la base il prenait deux comprimés anti-douleur par jour, récemment il a augmenté à trois comprimés. Comment doit-on se comporter face aux douleurs de cancers ? Comment doit on les traiter ? Voilà les questions que je voulais poser. D'autre part j'espère que mon maître commentera les formules ci-dessus. »
Le maître Lu Chonghan : « Cette fois ci ton traitement est quasiment correct, et les faits viennent confirmer cela, car les résultats sont là ! La maladie de ce patient dure depuis 5 ans, de plus les 3 dernières années des métastases sont apparues, l'ulcération à la clavicule gauche n'a pas cicatrisé pas pendant une longue période, ajouté à cela le pouls sans racine, qu'est-ce que cela signifie ? Cela signifie que le jing qi du patient a déjà décliné, les muscles du corps n'ont déjà plus la force pour réparer les zones détériorées. Le pouls que tu avais noté pendant la première consultation, pouls à droite lent qui manifestait déjà un aspect superficiel, cela signifie non seulement que le yuan qi a décliné, mais qu'il y a un aspect d'échappement, j'ai vu que sur le compte rendu de la première consultation de ce cas clinique tu as écrit « uniquement protéger et solidifier le yuan qi, afin de parer à toutes éventualités », ceci est très exact, ceci signifie qu'il faut saisir la racine. Une fois la racine saisie, on va pouvoir ensuite parler des autres choses. Et la racine c'est quoi ? C'est de sauvegarder la vie ! Maintenant nous n'en sommes pas au moment de soigner la maladie, nous sommes au moment de sauvegarder la vie. Comment sauvegarder la vie ? Il faut prendre soin du jing qi, prendre soin du yang qi. Ta formule a été développé sur la base de la méthode de Sini tang (四逆法), ta voie de réflexion est juste, mais cela semble encore un peu trop compliqué, dès que la formule devient compliquée la force des herbes absorbées est plus faible. Fa banxia, zhu fushen et dangshen peuvent ne pas être utiliser pour le stade actuel, si la formule est un peu épurée c'est très bien. Les anciens disaient : « la force est grande si l'effet est spécialisé », cela a justement cette signification. D'autre part, dès qu'on ajoute danggui à la prescription, celle-ci va aller dans le sens du qi et du sang. Peut-on aller dans le sens du qi et du sang ? Évidemment que tonifier et augmenter le qi et le sang pour ce patient va aider, mais il semble évident que c'est superficiel d'un grade. Pour ce genre de patient, si ce que l'on vise particulièrement est trop superficiel d'un grade, alors l'espoir de le faire revenir va beaucoup diminuer, c'est pourquoi il faut considérer cela de manière plus profonde, on doit viser tout particulièrement à partir du jing qi. En rapport avec cette réflexion j'ai donc supprimé danggui et l'ai remplacé par bajitian et tusizi.
Ensuite continuons avec la question des douleurs que tu mentionnes, les douleurs de cancers et les autres types de douleur on des points communs, évidemment il y a aussi des différences. La différence c'est qu'il y a une masse qui comprime à ce niveau là. Une autre chose c'est que les patients cancéreux ont généralement le yang qi très faible, il y en a même qui sont au degré de l'affaiblissement extrême. Alors quels sont les points communs ? C'est le blocage des mécanismes du qi qui ne sont plus libres, c'est ce que tout le monde connait sous l'adage « ça ne circule pas alors il y a douleur ». Quels sont les facteurs qui mènent à l'obstruction des mécanismes du qi ? La masse tumorale évidemment n'est pas le facteur, parce qu'il y a des patients cancéreux avec des masses tumorales très grosses, mais qui n'ont aucune douleur, cela signifie qu'il y a des facteurs plus importants et plus directs.
Pour ce qui est des connaissances concernant les douleurs, le mieux est de revenir aux classiques. Dans le Neijing il y a un chapitre qui traite spécialement des douleurs, qui s'appelle « Discussion sur les énumération des douleurs » (chapitre 39 du Huangdi Neijing Suwen). Dans ce chapitre sont citées 14 sortes de douleurs en exemple, parmi elles 13 sortes sont provoquées par le froid, qu'est-ce que cela signifie ? Cela signifie que la cause principale des douleurs est le froid ! Donc pour traiter les douleurs il faut toujours saisir le froid comme cause principale. Pourquoi est-ce que les patients cancéreux en stade terminal ont quasiment tous apparition de douleurs ? Parce qu'arrivé en stade terminal le yang qi est quasiment toujours extrêmement affaibli, dès que le yang qi est affaibli, le froid se produit immédiatement à l'interne, à cela se rajoute le fait qu'il y a la présence d'une masse tumorale à un endroit, ainsi les causes qui contribuent à la production de douleurs sont suffisantes. Mais pourquoi les douleurs lors de pathologies cancéreuses sont-elles aussi difficile à traiter ? La clé du problème est encore le yang qi, la cause est l'affaiblissement du yang qi, et le froid à l'interne qui ne cesse pas d'être produit, tant que le froid à l'interne ne cesse pas, la cause principale de la douleur ne cesse pas non plus. Tant que la cause de la douleur n'est pas éliminée, la douleur et ses conséquences sont difficile à traiter. »
L'élève Liu Lihong : « Donc est-ce que cela signifie que pour les douleurs de cancers il faudra encore principalement soutenir le yang ? »
Le maître Lu Chonghan : « Oui, il faudra principalement soutenir le yang, mais ce n'est pas aussi simple, il faut aussi prendre en considération les manifestations (biao 标) de la maladie. Ce qu'on appelle les manifestations de la maladie c'est comment on va directement supprimer le blocage des mécanismes du qi. Si les mécanismes du qi ne sont pas libres, on peut par exemple utiliser wuyao ou yuanhusuo, en progressant d'un pas on peut aussi utiliser ruxiang ou moyao. Bien sur lorsqu'on va utiliser ces herbes il faudra faire attention au fait qu'elles ont un aspect de consomption du qi, il faudra prendre en considération l'état pathologique, pour savoir si on doit ou pas les utiliser, et à quel moment les utiliser. Pour ce patient, avec un yuan qi très affaibli, un pouls sans racine, si on va encore consommer et disperser le qi, alors peut-être que l'état pathologique va rapidement se dégrader. Donc au début nous ne nous sommes pas préoccupés de sa douleur, nous n'avons pas utilisé des produits qui consument et dispersent le qi, et cela est une bonne chose. À présent après avoir soutenu le yang et solidifier la racine pendant un moment, l'état pathologique s'est amélioré, on pourrait considérer un peu ce point là. Cela dit il faudra toujours être prudent dans le choix des herbes, autant que faire se peut on choisira des herbes qui consomment et dispersent peu. Par exemple si on parle des deux herbes wuyao et yanhusuo, on pourrait choisir wuyao, car wuyao a un effet de consomption du qi moindre que yanhusuo.
Bien que les douleurs soient une manifestation (biao 标, une branche) de la maladie, cependant à partir du moment où la situation de cette manifestation augmente jusqu'à être en position principale, par exemple si la douleur est très intense, elle va influencer la vie normale du patient, il va être angoissé, le sommeil et l'activité vont être perturbés, sous cette condition le yuan qi n'a pas la possibilité de résider paisiblement à sa place propre, et il y a le danger de l'échappement du yang. Pourquoi en médecine occidentale il y a le choc algique ? En réalité c'est ce principe. À ce moment là la douleur est un problème mortel, et régler le problème de la douleur revient à conserver la vie, donc les problèmes cliniques doivent être regardé avec beaucoup de souplesse, il faut des méthodes vivantes avec des mécanismes circulaires, nous ne pouvons pas appliquer mécaniquement des méthodes, nous devons être au clair avec cela au niveau de la logique (li 理). »
L'élève Liu Lihong : « Cette fois je vois que vous avez utilisez la méthode de Sini avec une prépondérance pour shengjiang. Maître, vous avez déjà souvent parler de ce point, mais je trouve encore que ce n'est pas très clair, on voit rarement utiliser shengjiang de cette façon, est-ce une particularité de l'école Lu ? Dans quelle situation va-t-on utiliser ganjiang ? »
Le maître Lu Chonghan : « Nous avions déjà parlé de ce point autrefois, lorsqu'on utilise ganjiang dans la formule Sini tang c'est la formule précise Sini tang, c'est vraiment lorsqu'on veut l'utiliser pour faire revenir le yang et sauver le contre-courant. Il y a déjà apparition du froid à revers aux quatre membres chez le patient, le pouls est ténu (wei) et sur le point de s'épuiser, dans cette situation il n'est pas possible de ne pas utiliser exactement Sini tang, à ce moment on utilise ganjiang, on utilise principalement ses fonctions de réchauffement et protection. Mais dans la plupart des fois on utilise le sens de la formule Sini tang, c'est ce qu'on appelle la méthode Sini (Sini fa 四逆法), l'utilisation de la méthode Sini est très vaste, ses fonctions ne sont plus pour faire revenir le yang et sauver le contre-courant, mais pour réchauffer les reins et recevoir au foyer inférieur, en clinique pour la plupart des pathologies chroniques et maladies graves nous allons travailler à partir de cette méthode, on peut dire que cette méthode est vraiment le but du traitement, et les autres méthodes sont seulement des moyens, ces moyens sont là pour atteindre ce but, si on n'atteint pas ce but, peut-on penser vraiment guérir la maladie ? Faire un vrai travail sera très difficile.
Shengjiang est une herbe très animée, qui peut réchauffer le centre, disperser le froid, qui peut aussi réchauffer le foyer inférieur, de plus elle peut faire communiquer la clarté de l'esprit (shen ming 神明) et chasser les odeurs nauséabondes, on peut dire que c'est une herbe experte dans un secteur et bon en bien d'autres. En comparaison ganjiang n'est pas aussi complète. Par exemple pour ce patient, dont le yang qi est très bas, il y a déjà une situation de flottement [du yang], donc le patient craint la chaleur, quand nous sommes allés le voir il y avait le ventilateur allumé, mais cette sorte de crainte de la chaleur est-ce un excès de yang ? Certainement que non ! Donc ce genre de patient, hormis le fait qu'il y ait vide de yang et froid interne, il peut à tout moment contracter un froid externe, et si on ne s'occupe pas bien de ce problème cela aura une influence sur le traitement de l'interne. Mais si on utilise shengjiang la situation n'est pas la même, pour ce patient par exemple, on utilise jusqu'à 60g de shengjiang, quand bien même il aurait simultanément une atteinte externe de froid, cela pourra entièrement être résolu. Si on avait utilisé ganjiang, il n'aurait pas été possible de réaliser ce niveau d'action.
Dans la méthode Sini on n'utilise pas seulement ganjiang, mais beaucoup plus souvent shengjiang, ou à l'extrême paojiang (炮姜) ou weijiang (煨姜), parfois on peut tous les utiliser ensemble, afin que la méthode Sini devienne une méthode pour prendre en charge toutes sortes de pathologies. On peut dire que c'est une méthode très importante, c'est aussi un grand développement de la famille Lu à partir des idées de Zheng Qin'an. »
L'élève Liu Lihong : « Au début pour ce patient j'avais utilisé fa banxia et zhu fushen, c'est-à-dire j'avais utilisé le sens de Erchen tang à l'intérieur de ma formule, car l'enduit lingual du patient était blanc et gras, il y avait de manière évidente des signes de tan humidité. Mais, mon Maître, après avoir vu le patient, vous avez enlevé fa banxia et fushen, bien sûr c'est dans le but de rendre la formule un peu plus épurée, mais alors comment résoudre le problème de cette humidité ? »
Le maître Lu Chonghan : « Ceci a un rapport avec le niveau de connaissance que l'on a du problème, le niveau n'est pas le même donc le choix des méthodes n'est pas non plus le même. Concernant l'humidité trouble nous devons d'abord savoir clairement comment elle est produite. C'est une substance produite car le yang de la rate est inerte, seulement si le yang de la rate est inerte l'humidité trouble s'arrêtera et s'accumulera. Si on utilise des herbes qui assèchent l'humidité comme cangzhu et fa banxia on pourra transformer l'humidité, mais toutes passent par la stimulation du yang de la rate pour réaliser leur action. Puisqu'il s'agit de stimuler le yang de la rate, encore faut-il qu'il y ait du yang qi à stimuler, si le yang qi est très faible, et qu'on le stimule, on va peut-être l'éradiquer complètement. Pour le présent patient, j'ai enlevé fa banxia sur la considération de ces principes là.
En ce qui concerne l'humidité et la chaleur humidité, souvent lorsqu'on utilise des herbes pour réchauffer et assécher ou clarifier, oui, peut-être que l'humidité chaleur va très vite sortir par le bas, mais peu de temps après elle va revenir, et cela de façon répétée. Quelle en est la cause ? C'est parce que nous n'avons réfléchi qu'à la voie de sortie de l'humidité, et nous ne connaissons pas la voie d'arrivée de l'humidité. Si la voie d'arrivée n'est pas coupée comment penses-tu y mettre un terme ? Cette voie d'arrivée est l'insuffisance des fonctions des organes et entrailles, notamment l'insuffisance du yang qi. »
L'élève Liu Lihong : « Je comprends ce que mon maître veut dire pour les problèmes de niveau, les problèmes de niveau ne peuvent vraiment pas être résolu en une matinée, ils impliquent beaucoup de facteurs. Per exemple la culture. Par exemple l'expérience personnelle, également la nature du cœur, tous peuvent influencer nos niveaux. On peut emprunter toutes sortes de méthodes pour élever notre culture, on peut augmenter doucement notre expérience personnelle, mais si la nature de notre cœur ne peut rester cacher et calme, on peut toujours espérer souffler sur la balle (l'enveloppe qui entoure les grains de céréales) pour voir le grain de riz, si on pense pouvoir élever son niveau cela sera très difficile. Laozi disait : « le Dao produit le un, le un produit le deux, le deux produit le trois et le trois produit les dix-mille êtres. » En réalité ici aussi c'est un problème de niveau, que l'on se tienne au niveau du « trois » ou au niveau des « dix-mille êtres », ou qu'on se tienne au niveau du « deux » ou même qu'on se tienne au niveau du « un » ou du « Dao » on regarde les problèmes complètement différemment. Quand on se tient au niveau du « trois » ou au niveau des « dix-mille êtres » les choses sont de toutes sortes, donc les méthodes de traitement sont aussi innombrables, mais si on revient à un niveau et qu'on avance vers le « deux », les problèmes deviennent plus simples, cela devient complètement une relation abordé avec deux facteurs (le yin et le yang).
Si on revient encore à un certain niveau et qu'on avance vers le niveau « un », cela est encore plus simple. Les anciens disaient : « lorsqu'on parvient au Dao ce n'est pas complexe », cela indique exactement cela. Mais ce discours peut se retourner, car plus les choses sont simples moins elles sont faciles à maitriser, et aussi plus elles ne sont pas facilement accessibles aux gens. Actuellement les praticiens de médecine chinoise qui peuvent aller jusqu'au niveau « deux » ne sont déjà pas nombreux, cependant les méthodes de la famille Lu se sont déjà approchées d'un niveau, et sont déjà parvenu au niveau « un ». Mon maître vous qui soulignez toujours l'importance du yang qi, en réalité ce n'est pas le yang du niveau « deux », mais c'est le yang véritable qui est capable de transformer et produire le « deux » dont vous parlez. Depuis que j'étudie avec vous, d'un côté je l'ai ressenti personnellement, d'un autre côté c'est en vous écoutant souvent en parler [que je l'ai compris]. Les formules que vous prescrivez, Maître, contiennent seulement 3 à 5 herbes, les formules semblent fondamentalement les mêmes, la différence est uniquement dans une ou deux herbes, mais si on regarde avec un œil moderne, vous traitez un champ très vaste de maladies. En réalité c'est un style de résolution de problème de niveau « un », ceci est totalement différent du style de résolution de problème de niveau « trois », comment maitriser la différence d'une ou deux herbes, c'est vraiment la difficulté du « un ». Je ne sais pas si ma compréhension est juste ou pas ? »
Le maître Lu Chonghan : « C'est juste ! Je suis très content que tu puisses le comprendre de cette manière. Mais de cette manière nous parlons uniquement au niveau théorique, il faut encore le confirmer par les faits. Ce processus ne peut pas être rapide, il faut lentement l'assimiler.
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